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Politique
Emmanuel Macron veut « élargir » le socle commun et parler aux socialistes. Un message entendu par le parti à la rose, qui pose ses conditions. Cette hypothèse soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses.
Le
Une tribune d’élus socialistes estime irréalistes la retraite à 60 ans et les 40 ans de cotisation pour tous
Une tribune parue dans Le Monde, notamment signée par Nicolas Mayer-Rossignol et une trentaine d’élus socialistes dont Patrick Kanner (président du groupe socialiste au Sénat), Carole Delga et Anne Hidalgo, appelle à « une vraie réforme des retraites de gauche ».
Par Public Sénat
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A moins de deux semaines de l’arrivée de la réforme des retraites au Sénat, les signataires appellent à une autre opposition à la réforme des retraites. « L’obstruction a montré ses limites, l’outrance son indignité, » estiment les signataires avant d’appeler à une « vraie réforme de gauche ».
La tribune déplore une gauche accrochée à la retraite à 60 ans après 40 annuités de cotisation. Les signataires appellent à se concentrer sur d’autres éléments et proposent de « réintroduire les critères de pénibilités » et « d’en ajouter de nouveaux ».
Le texte insiste sur la priorité de traiter certaines questions comme l’amélioration de l’égalité entre les hommes et les femmes, la lutte contre le chômage des seniors ou la taxation des superprofits.
Les élus critiquent la manière dont la réforme des retraites a été traitée à l’Assemblée nationale en déclarant : « De la gauche qu’on aime, on attend qu’elle trace un cap et explique comment l’atteindre. »
Une tribune en forme de ligne rouge pour l’opposition de gauche au Sénat après les polémiques suscitées par les députés de la France Insoumise lors de l’examen de la réforme des retraites à l’Assemblée nationale.
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